Série - Docteur House

J’ai eu tendance à me focaliser sur les moments chiants, mais y en a eu des sympas aussi.

- C’est pas possible il ment.
- Oui c’est ce qui s’appelle parler.

Tu as déjà tendu une corde de guitare très fort ? Tellement fort qu’elle émet un son strident… qui se rapproche plus d’un cri, d’un hurlement… Gniiiiiiii… Gniiiiiiiii !!

Vous m’emmerdez, House.

Vous seriez surprise de voir ce avec quoi on peut vivre.

- Cameron a conservé le sperme de son mari.
- Elle n’aime pas le tien.
- Elle préfère le sien, enfin du moins elle le garde en réserve au cas où le mien ne serait pas digne de confiance ou je sais pas quoi.
- Eh ben…
- Encore 2 cm.
- Faut qu’elle le garde sinon faudra rester avec elle jusqu’à la fin de tes jours.

- Pense à ta blouse.
- Ah non, ça sa gratte !

Vous me comparez à un nazi ? Sympa !

Je suis coincée House, j’aimerais pouvoir avancer, pouvoir passer à autre chose et j’y arrive pas… Je suis dans ma nouvelle maison avec mon nouveau fiancé, je ne pense qu’à vous, j’aimerais au moins savoir si ça peut marcher…

Qu’est-ce que vous faites du serment que l’on a fait ? Celui d’être cool !… En tout cas moi c’est celui que j’ai dit pendant que les autres faisait le pas amusant…

- C’est génial.
- Non c’est bizarre.
- Justement quand c’est simple y’a des milliers de réponses et quand c’est bizarre y’en a aucune.

And the bitch is back !

Je ne ferais exister ce moment qu’en fonction des gens qui sont dans cette pièce, et la vie n’est rien d’autre que ça, une longue sucession de pièces et tous ceux et celles qui sont avec nous dans cette pièce contribuent à notre histoire.

- C’était quoi votre plan ? J’me sentirais si humble après m’être fourvoyé que j’serais près à revoir toutes mes valeurs, à m’intéresser à la bonté, à la notion de vérité et à m’prendre pour Cameron ?
- Y a un peu d’ça. Mais te dire la vérité c’était craindre qu’ayant pu le sauver en ne t’appuyant absolument sur aucune preuve médicale, tu te prennes pour Dieu. Et… J’ai eu un peur, que tu ne te brûles les ailes.
- Pourquoi ? Dieu il boite ?

- Les gens ne veulent pas de médecins malades.
- Je comprends ça. Moi je ne veux pas de patient en bonne santé.

Aimer, c’est accepter de souffrir. On ne peut pas aimer quelqu’un sans pleurer avec lui, partager ses problèmes, ses peurs.

- Vous croyez que j’ai envie que le monde entier vous voit examiner mes fesses et critiquer ma garde robe ?
- Vous préféreriez que j’examine votre garde robe et que je critique vos fesses ?

Il était mon ami. La chose dont vous devez vous souvenir, la chose que vous ne devez pas oublier c’est que Grégory House a sauvé des vies. C’était un guérisseur. Et à la fin… House était un connard. Il se moquait de tout le monde, ses patients, ses collègues, le peu de ses amis, toutes les personne qui n’étaient pas à la hauteur de ses idéaux fous de l’intégrité. Il prétendait être dans une quête héroïque de la vérité, mais la vérité c’est que c’était un cruel imbécile qui aimait rendre les gens tristes ! Et il l’a prouvé en mourant égoïstement engourdi par des narcotiques, sans la moindre pensées pour quiconque… Une trahison pour chaque personne qui se souciait de lui. Un million de fois il a eu besoin de moi, mais moi, la seule fois ou j’aurais eu besoin de lui…

Même une pendule cassée a raison deux fois par jour.

- Il est heureux.
- Il est mort.
- Il est heureux…