Kaakook

Top - Citations de films et séries de tous les temps

L’amour n’obéit à aucune règle, c’est ce qui le rend si imprévisible… Il arrive parfois qu’il naisse là où personne ne l’attendait…

#241
9.37 (181 votes)

Faire semblant de plus t’aimer tu peux pas savoir à quel point ça a été dur.

#242
9.37 (261 votes)

Je serai toujours avec toi.

#243
9.37 (403 votes)

Quand nous rêvons, nous entrons dans un monde qui n’appartient qu’à nous.

#244 9.37 (261 votes)

Avengers rassemblement !

#245 9.37 (211 votes)

Écoute ! Je n’aime pas faire la morale, mais je vais te donner un conseil qui te servira à jamais. Dans la vie tu rencontreras beaucoup de cons. S’ils te blessent, dis-toi que c’est la bêtise qui les pousse à te faire du mal. Ça t’évitera de répondre à leur méchanceté. Car il n’y a rien de pire au monde que l’amertume et la vengeance. Reste toujours digne et intègre à toi-même !

#246
9.36 (210 votes)

- Vas-y, rentre dans ce sac de couchage ! Vite !
- Non, mais tu me prends pour un Twix ou quoi ?!

#247
9.36 (162 votes)

- Vous êtes si belle que ça en est douloureux !
- C’est votre nez qui saigne ?
- Non c’est mon cœur.

#248
9.36 (521 votes)

Tu tombes amoureux de ta femme, imbécile !

#249
9.36 (115 votes)

Des images me reviennent
Comme des souvenirs tendres
D’une ancienne ritournelle
Autrefois en décembre
Je me souviens il me semble
Des jeux qu’on inventait ensemble
Je retrouve dans un sourire
La flamme des souvenirs
Doucement un écho
Comme une braise sous la cendre
Un murmure à mi-mots
Que mon cœur veut comprendre
Je me souviens il me semble
Des jeux qu’on inventait ensemble
Je retrouve dans un sourire
La flamme des souvenirs
De très loin un écho
Comme une braise sous la cendre
Un murmure à mi-mots
Que mon cœur veut comprendre
Une ancienne ritournelle
Loin du froid de décembre

#250
9.36 (477 votes)

PS : je t’aimerai toujours.

#251
9.36 (1264 votes)

La victoire appartient à celui qui y croit le plus et surtout le plus longtemps.

#252
9.36 (316 votes)

- C’est amusant de ne pas respecter… le règlement !
- Qui êtes-vous et qu’avez vous fait à Hermione Granger ?

#253 9.36 (688 votes)

- Vous disiez la vérité !
- Ça m’arrive très souvent. Je comprends pas pourquoi ça vous étonne.

#254 9.36 (540 votes)

Oh mon dieu, j’ai l’impression d’apprendre que ma chanson d’amour préférée parlait d’un sandwich.

#255
9.36 (626 votes)

- Dites moi comment il est mort.
- Je vous dirais comment il a vécu.

#256
9.36 (162 votes)

Poussez-vous, excusez-moi ! Poussez-moi excusez-vous !

#257
9.36 (601 votes)

Blair : Moi j’ai couché avec Chuck à l’arrière de sa limousine.
Chuck : Plusieurs fois même.
Nate : Moi j’ai couché avec Serena alors que j’étais avec Blair, une seule fois.
Blair : On se passera des détails… Et toi Chuck ?
Chuck : Moi ?! Je suis Chuck Bass…

#258
9.36 (2671 votes)

Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous la leur rendre Frodon ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.

#259 9.36 (524 votes)

J’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit l’autre jour, à propos de ma peinture ; j’ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j’ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n’ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j’ai compris ? Tu n’es qu’un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n’es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m’offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t’ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c’est que de se réveiller près d’une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c’est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n’as pas vécu la guerre. Tu n’as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l’as pas vu haleter jusqu’au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d’amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n’as pas connu de femme devant qui tu t’es senti vulnérable. Une femme qui t’aie étalé d’un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t’arracher aux profondeurs de l’enfer. Et tu ne sais pas ce que c’est d’être son ange à elle. Et de savoir que l’amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d’hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n’avais pas l’intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c’est que de perdre quelqu’un. Parce qu’on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu’on ne s’aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n’est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c’est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j’ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n’est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j’ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n’ai rien à apprendre de toi que je n’apprendrai pas dans n’importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m’intéresse. Là je suis à toi. Mais c’est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

#260
9.36 (381 votes)

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