Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1959

- Mais tu ne comprends pas ! Je suis un homme.
- Et alors ? Personne n’est parfait.

#1
9.01 (121 votes)

Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Comment me serais-je doutée que cette ville était faite à la taille de l’amour ?
Comment me serais-je doutée que tu étais fait à la taille de mon corps même ?
Tu me plais. Quel événement. Tu me plais.
Quelle lenteur tout à coup.
Quelle douceur.
Tu ne peux pas savoir.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
J’ai le temps.
Je t’en prie.
Dévore-moi.
Déforme-moi jusqu’à la laideur.
Pourquoi pas toi ?
Pourquoi pas toi dans cette ville et dans cette nuit pareille aux autres au point de s’y méprendre ?
Je t’en prie…
(…)
Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Cette ville était faite à la taille de l’amour.
Tu étais fait à la taille de mon corps même.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
J’avais faim. Faim d’infidélités, d’adultères, de mensonges et de mourir.
Depuis toujours.
Je me doutais bien qu’un jour tu me tomberais dessus.
Je t’attendais dans une impatience sans borne, calme.
Dévore-moi. Déforme-moi à ton image afin qu’aucun autre, après toi, ne comprenne plus du tout le pourquoi de tant de désir.
Nous allons rester seuls, mon amour.
La nuit ne va pas finir.
Le jour ne se lèvera plus sur personne.
Jamais. Jamais plus. Enfin
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Nous pleurerons le jour défunt avec conscience et bonne volonté.
Nous aurons plus rien d’autre à faire que, plus rien que pleurer le jour défunt.
Du temps passera. Du temps seulement.
Et du temps va venir.
Du temps viendra. Où nous ne saurons plus nommer ce qui nous unira. Le nom ne s’en effacera peu à peu de notre mémoire.
Puis, il disparaîtra tout à fait.

#2
7.92 (43 votes)

- C’est quoi ces tâches de sang sur vos guêtres ?
- Je me suis coupé en me rasant ce matin.
- Vous vous rasez avec vos guêtres ?
- Je dors même avec mes guêtres.

#3
7.8 (40 votes)

- Je suis Osgood Fielding III.
- Et moi Cendrillon II !

#4
7.75 (30 votes)

Sextus, tu voulais savoir comment combattre une idée. Et bien, je vais te l’apprendre. Avec une autre idée.

#5
7.73 (12 votes)

- Cadence de combat, hortator.
- Cadence de combat !
- Cadence d’attaque.
- Cadence d’attaque !
- Cadence d’éperonnage.
- Cadence d’éperonnage !
- Repos.
- Repos ! Arrêtez ! Repos !

#6
7.73 (12 votes)

- Si tu n’étais pas fiancée, je te donnerais un baiser d’adieu.
- Si je n’étais pas fiancée, nous n’aurions pas besoin de nous dire adieu.

#7
7.73 (12 votes)

- Judah, ou bien tu m’aides ou bien tu me combats, tu n’as pas d’autre choix. Tu es soit pour moi soit contre moi !
- S’il faut que je choisisse, alors je serai contre toi !

#8
7.62 (11 votes)

Bande de fainéants !

#9
7.62 (11 votes)

- Dites-moi jeune homme, qu’est-ce que c’est que ce déploiement, cette fantasia matinale ? Vous allez tout de même pas recommencer avec vos tremblements de terre ?
- J’vous emmerde. On pose le gaz.
- Le gaz ! Y’a six mois, c’était l’eau, demain ça s’ra l’téléphone. Vous n’pouvez pas grouper tout ça une fois pour toutes, non ?
- Bah c’est une question de crédits. C’est comme la guerre, ça, mon bonhomme.

#10
7.62 (11 votes)

La liberté, c’est d’faire c’qu’on veux, y compris d’aller en taule quand on en a envie !

#11
7.62 (11 votes)

- Ça m’a l’air d’une gentille personne, votre dame.
- Ah, ça pour être gentille, elle l’est. Elle l’est même un peu trop, ça. Elle est bien serviable. Tenez, monsieur, moi qui vous parle, j’l’ai pincée huit fois en flagrant-délit, m’sieur, huit fois, et encore c’étaient des coups de veine. En réalité, pour savoir où j’en étais, j’avais qu’à compter mes clients plus le barman et le garçon. Bah si vous totalisez, dans une affaire qui travaille bien, ça va chercher du monde. Traînée va ! Bah c’est ça qui m’amène chez les affreux. On a beau dire, la moralité, ça passe avant les bénéfices.

#12
7.62 (11 votes)

- Monsieur Félix, vous allez foutre le camp, je ne peux pas supporter votre tronche.
- Il ne faut pas se fier au physique des gens.
- Avec vous, si. Vous avez la gueule de travers et la mentalité biscornue. Vous êtes synchrone.

#13
7.62 (11 votes)

- Tant que nous serons victorieux, tu ne pourras pas t’évader. Si nous sommes vaincus, tu couleras avec ce navire, enchaîné à ton aviron.
- Je ne croirai jamais que Dieu m’a gardé vivant pendant ces trois années pour que je meure enchaîné.
- C’est vraiment une foi étrange et obstinée que celle qui permet à un homme de croire que notre existence a un but précis. Un homme normal aurait depuis longtemps perdu cette croyance.
- À ton exemple, qu’est-ce qui te l’a fait perdre ?

#14
7.62 (11 votes)

Garde… détache le 41.

#15
7.62 (11 votes)

Messala : Regarde !
Drusus : C’est magnifique.
Messala : Et offert par quelqu’un que je n’ai jamais vu.
Ben-Hur : Tu te trompes, Messala.
Messala : Judah ? Par quelle magie est-ce que tu portes le nom glorieux d’un consul de Rome ?
Ben-Hur : C’est toi, le magicien, Messala. C’est toi qui m’a condamné aux galères.

#16
7.62 (11 votes)

- Je dois traiter Messala à ma façon.
- Et ta façon est de l’tuer. Je vois cette chose terrible dans ton regard, Judah Ben-Hur, mais quoi que Messala ait pu te faire autrefois, tu n’as pas le droit de lui ôter la vie, il sera inévitablement puni.

#17
7.62 (11 votes)

Tue-moi et ta mère et ta sœur mourront aujourd’hui crucifiées toutes les deux sous tes yeux ! Qu’attends-tu, Judah ? Tue-moi !

#18
7.62 (11 votes)

Eh toi ! J’ai dit « Pas d’eau pour cet homme ! »

#19
7.62 (11 votes)

- L’homme qui t’accompagne, Quintus Arrius, qui est-ce ?
- Celui qui a permis, divin empereur, que je revienne ici te servir.
- C’est tout ce que tu sais sur cet homme ?
- Non. On l’a accusé d’avoir attenté aux jours du procurateur de Judée mais il était innocent.
- Je l’espère. Ce serait une étrange incohérence chez cet homme d’essayer de tuer mon procurateur et de sauver la vie de mon consul.

#20
7.62 (11 votes)

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